Les mots sont à ma pratique artistique, ce que l’eau d’érable est à notre histoire. Je fraye entre les figures de style comme d’autres glissent sur les nappes d’huile et je ne cesse de me casser l’inspiration sur les failles de notre langue.
Mon terrain de jeu? Les jardins humains, là où poussent nos fruits et nos mauvaises herbes. Dans quel but? Aucune idée! Parce que c’est plus fort que ma raison peut-être, parce que créer me permet de respirer, de ne pas mourir asphyxiée par l’indifférence et l’aliénation.
En 2019, je me discipline à composer aussi souvent que possible…
bon voyage au centre de mon imaginaire!
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