J’ai mangé mon souffle
Je l’ai englouti
Six jours muette des mots, six jours à me demander si le bonheur d’écrire équivaut au stress de se l’obliger. C’est une richesse que de se forcer la main et le cœur à faire naître les phrases sur des pages blanches… ce l’est moins lorsque cet impératif creuse des sillons de culpabilité. J’étais prête à ce que mes mots jouent en moi, c’est le contrat de l’écrivain.
En 2019, je me discipline à composer aussi souvent que possible…
bon voyage au centre de mon imaginaire!
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