
Si j’étais mourante, viendriez-vous à mon chevet? Changeriez-vous, pour une fois, vos horaires pour un café? Et si je mourais, est-ce que vous liriez mes maux? Verriez-vous en mes textes une profondeur insoupçonnée? Gagneraient-ils en valeur? La mort berce-t-elle mieux nos œuvres que la vie? La mort nous rappelle souvent trop tard l’amour qui nous unit.
En 2019, je me discipline à composer aussi souvent que possible…
bon voyage au centre de mon imaginaire!
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