Jour 31 – 17 février 2019
HAÏKUS la canne est vide du sirop d’érable que j’espère l’inconnu n’a pas d’argent mais m’attend un dessin tombé de l’arbre parle de toi En 2019, je me discipline à …
Parce que vivre c’est tout ça!
HAÏKUS la canne est vide du sirop d’érable que j’espère l’inconnu n’a pas d’argent mais m’attend un dessin tombé de l’arbre parle de toi En 2019, je me discipline à …
Leurs mains ratatinées de rivières Leurs visages brûlés de grand air Leurs avirons écorchés se cadencent À la claire fontaine Loin des jupes de leurs frissons Pérégrinent l’héritage du Nouveau …
J’ai mangé mon souffle Je l’ai englouti Six jours muette des mots, six jours à me demander si le bonheur d’écrire équivaut au stress de se l’obliger. C’est une richesse …
Cette neige qui tombe me fait penser à toi. Toi, l’une des parcelles de femme qui réside en moi. Mélange de courage, d’utopies, cette partie d’être qui survit aux froids …
acerbe boîte à musique ta ballerine danse Gracieuse Élancée au son éternel d’une mélodie métallique tu grinces d’ostentation un hymne d’injustice et nargues la fillette Assise Infirme qui cherche désespérément …
Je suis… A dmirative R aconteuse I nspirée E xtravagante L abyrinthienne L acunaire E rmite Et vous… quelle serait la poésie de votre prénom? En 2019, je me discipline à composer aussi souvent que possible… bon …
Ma lucidité guerroie les affres de l’anesthésie immiscées en mes veines. La gorge écorchée par l’intubation enfoncée dans mon pharynx, les poumons brulés par une respiration factice, ma langue saturée …
À mes amis.es Instants de rire Éclats d’amitiés Qui pansent Et consolent nos solitudes Par ses complicités En 2019, je me discipline à composer aussi souvent que possible… bon voyage …
Le blanc de ta vieillesse laisse ta tête solitaire. Tu rencontres l’oubli, ta vie en équivoque. Et au creux de la seconde qui change les souvenirs, tu inventes un sens …
je provoque l’inspiration elle me tient tête je l’insulte j’hurle à l’adultère à l’injustice maudissant les artistes ces autres qu’elle préfère et j’arpente l’abysse des pages blanches de leurs supplices …